Viens Amnéris, allons promener !

ImprimerE-mail
Roman
Viens Amnéris, allons nous promener ! par Amalthée

20,00 €
Remise
Prix / Kg:
Nom du destinataire
Nombre de caractères saisis :0
Texte de la dédicace
Nombre de caractères saisis :0
Viens Amnéris, allons nous promener ! par Amalthée
Viens Amnéris, allons nous promener ! par Amalthée
Plus de détails

Antoine
Un peu rouspéteur... Pas commode et pourtant un coeur d'or. Aimant les choses en place et les gens sérieux.

 

Chaque jour au petit matin Antoine file dans la campagne avec Amnéris... Sa chienne berger allemand.

Une façon de se guérir d'un récent passé... Ne penser qu'aux heureux jours lointains.

 

Joyeux du seul soleil qui se lève sur un village bien ordonné autour de son clocher. Là où quatre décennies auparavant... Antoine et Lorenzo débarquent dans le Sud ouest à la fin des années quarante, avec leur mère institutrice, veuve et italienne. Et, les réalités sont face à eux, fortes, poussant

à devenir grand très vite. Gilda la maman, venue d'un milieu aisé, citadin et culturellement très évolué doit lutter pour reprendre un rang dans la société semi rurale française dont elle ignore les ressorts.

 

De l'école communale au lycée privé. De balades à vélo en grandes randonnées pour revenir aux travaux ruraux dans le jardin de celle qui devient rapidement Marna Gilda pour tous les petits du village. Ainsi commence le parcours...

 

Liés à Joseph et Jean Pierre, ils connaissent avec ces compagnons d'enfance, d'études et d'adolescence une complicité indéfectible qui les éclaire à jamais.

Passent les années et les épreuves. Se forger une existence à l'aise par son travail.

 

Un jour Antoine subit coup sur coup deux deuils tragiques qui le prennent de plein fouet dans ses certitudes et ses automatismes. Il manque perdre souffle...

 

Et se retourne malgré lui vers certaines étapes de sa vie. L'armée. l'Algérie. Le mariage. Le garage... L'assaillent les regrets. Mais surtout le besoin de solitude...

La bienfaisante solitude ! Sa manie de replonger en arrière s'estompe... Sa nostalgie prend un tour positif.

 

"Il est possible que le livre soit le dernier refuge de l'homme libre.

Si l'homme tourne décidément à l'automate, s'il lui arrive de ne plus penser que selon les images toutes faites d'un écran, ce termite finira par ne plus lire. Toutes sortes de machine y suppléeront.

Il se laissera manier l'esprit par un système de visions parlantes; la couleur, le rythme, le relief, mille moyens de remplacer l'effort et l'attention morte de combler le vide ou la paresse de la recherche et de l'imagination particulière; tout y sera, moins l'esprit.

Cette Loi est celle du troupeau."

André Suarès 1920

Hélène Cadouin
dite "AMALTHÉE"

Tel. 07 88 21 15 46

Mail. contact@amalthee-ecrivain.info

Aller au haut